La prochaine Assemblée Générale de l’Aric se déroulera le samedi 18 octobre 2025 à Saint-Méen-le-Grand (au Centre Théodore Botrel) sur le thème : « S’engager aujourd’hui pour agir demain. »
À cinq mois des élections municipales, la question de l’engagement est plus que jamais d’actualité. Individuel ou collectif, citoyen ou institutionnel, comment le susciter, le faire grandir et l’entretenir dans la durée ? Cet événement sera l’occasion de partager réflexions et expériences autour de ce moteur essentiel de la vie publique. Christian Le Bart, politiste et professeur à Sciences Po Rennes sera le grand témoin de cette dernière édition avant les municipales !
> Déroulement de la matinée :
- 9h15-9h20 : Introduction par Gaëlle STRICOT BERTHEVAS, présidente de l’Aric
- 09H00-9h15 : Accueil par Pierre GUITTON, maire de Saint-Méen-le- Grand
- 9h20-9h30 : Intervention de Jean-Luc CHENUT, président du Conseil départemental d’Ille-et-Vilaine
- 9h30-10h00 : Assemblée générale statutaire – rapport moral et financier
- 10h00-10h20 : Partenariat : intervention de Rémi HEURLIN, directeur régional Bretagne de la Banque des Territoires
- 10h20-10h30 : Temps de pause
- 10h30-10h45 : Retour d’expérience de Jean-Yves CHAPUIS, consultant en stratégie urbaine et ancien élu – ville de Rennes
- 10h45- 11h15 : Table-ronde avec témoignages de 4 élu.e.s bretons : Florence Le Saint, maire de Pommerit-le-Vicomte, Armelle Bihannic, maire-adjointe à Mellac, Sylvie Hourmand, maire de Beignon, Anne-Sophie Patru, sénatrice d’Ille-et-Vilaine
- 11h15 – 12h00 : Intervention de Christian LE BART*, politiste et professeur à Sciences Po Rennes
- 12h00-12h45 – Echanges avec le public
- 12h45 : Conclusion par la présidente de l’Aric
>> Pour vous inscrire, il vous suffit simplement de nous renvoyer le bulletin d’inscription ci-dessous :
Télécharger le bulletin d’inscription*Zoom sur l’intervention de Christian LE BART, politiste et professeur à Sciences Po Rennes
» L’engagement dans la vie municipale est-il en déclin ? Les fonctions électives locales, malgré une faible rétribution, ont longtemps été synonymes de reconnaissance et de notoriété, elles étaient en outre associées au règlement effectif des problèmes concrets rencontrés par les habitants. Est-ce encore le cas ? Le climat populiste jette la suspicion sur les élus locaux comme sur les élus nationaux, les uns comme les autres se voyant associés au carriérisme, au goût du pouvoir, aux privilèges de la fonction… Il en résulte un déficit de reconnaissance qui peut expliquer les démissions, la crise des vocations, et ce que les journalistes appellent le blues des maires. »